Les États-Unis vont fournir une aide humanitaire supplémentaire au peuple soudanais et aux communautés d’accueil

Ce 20 mars 2024, les États-Unis, représentés par la secrétaire adjointe chargée de la population, des réfugiés et des migrations, Julieta Valls Noyes, ont rencontré le Premier ministre tchadien Succès Masra et ont annoncé une aide humanitaire de plus de 47 millions de dollars pour la réponse d’urgence au Soudan et dans les pays voisins, notamment le Tchad et Soudan du sud.

Le Soudan est la plus grande crise humanitaire au monde, avec plus de huit millions de personnes nouvellement déplacées depuis le début du conflit en avril dernier, et près de 25 millions de personnes – la moitié de la population du Soudan – ayant besoin d’aide, selon les Nations Unies. Cela comprend plus d’un million de réfugiés soudanais qui ont fui vers les pays voisins, notamment le Tchad, l’Égypte, l’Éthiopie, le Soudan du Sud et la République centrafricaine. Grâce à la générosité du peuple américain, cette aide humanitaire américaine fournit une aide vitale essentielle, notamment de la nourriture, de l’eau et des installations sanitaires, des abris, des services médicaux, y compris un soutien en matière de santé mentale, et une protection aux Soudanais fuyant le conflit.

Cette annonce porte l’aide humanitaire# totale des États-Unis à la population du Soudan et des pays voisins à plus de 968 millions de dollars depuis l’exercice 2023. Les États-Unis continueront de travailler avec leurs partenaires internationaux et locaux pour fournir un soutien vital aux millions de personnes touchées par les conséquences dévastatrices. conflit au Soudan. Les États-Unis sont le principal donateur humanitaire pour la réponse d’urgence au Soudan et appellent la communauté internationale à aider à alléger les souffrances de plus d’un million de réfugiés contraints de fuir leurs foyers en raison de la violence.

Les États-Unis exhortent les parties au conflit soudanais à autoriser un accès humanitaire sans entrave, notamment à travers les lignes et les frontières, à engager des pourparlers directs, à accepter un cessez-le-feu et à mettre fin immédiatement aux hostilités. Prévenir une famine et une catastrophe à long terme nécessitera à la fois un cessez-le-feu et un accès humanitaire sans entrave.

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