L’état-major des armées a lancé une enquête sur les conditions de ce décès, notamment afin d’établir s’il s’agissait d’une civile, donc d’une potentielle victime collatérale, ou d’une membre d’un groupe armé terroriste. Pour la première fois depuis le début de l’engagement de la France au Sahel, en 2014, dans le cadre de l’opération « Barkhane », l’état-major des armées a reconnu, mardi 19 octobre, avoir tué une femme lors d’une opération. Mais à ce stade, la question reste ouverte de savoir si cette femme était une civile, et donc une…