Ouvert hier 20 août 2022, le dialogue national inclusif et souverain, a été suivi par la presse accréditée par affinité, comme tout autre téléspectateurs ou cinéphiles derrière son écran, dans une salle dite « salle de presse » digne d’une boîte de conserve.
Même les assises des nations unies, la presse entière a, accès à la salle. Ouvrez les yeux. Les raisons sont d’ordre sécuritaire ? Non, puisque même les politico-militaires se trouvent dans la salle. Raison de plus pour que les médias circulent librement dans la salle pour immortaliser ce moment important de l’histoire du Tchad. Bien que le CODNI, dans son pool média, regroupe les patrons de presse, ces derniers n’ont eu aucune solidarité envers les reporters qui font le terrain. Ils ont usé de leur posture dans le comité pour dribbler leurs confrères et c’est bien dommage pour ces communicateurs qui connaissent bien la réalité du métier. Leur but, n’est pas une large couverture du dialogue mais, ils veulent juste s’assurer que leurs perdiems est là. Et le sort des vrais soldats de l’information, ne fait pas partie de leurs derniers soucis. Mécontents ou pas, les reporters lâcheront prise dans les jours à venir et c’est seul le pool communication du dialogue, qui fera un bulletin spécial du dialogue, à coût de millions pour justifier ce grand scandale et banditisme médiatique. Même si certains médias ont été payé par le CODNI, pour la couverture du dialogue, les vrais bénéficiaires sont les patrons de presse donc c’est à eux de justifier si d’autres médias ne font pas échos de ce dialogue à cause de l’incompétence du staff de communication du dialogue. l’Onama fera le boulot comme ce sont les privilégiés.
Le pool communication du CODNI, a produit une scène qui moque la couverture par les journalistes, mais dans les jours à venir, la presse ne fera pas vraiment échos de ce dialogue. Nous allons aiguiser nos plumes pour mettre à lumière les ratés de ce dialogue dans les jours à venir.