Le projet de renforcement de la résilience et de la cohésion sociale dans la zone frontalière du Niger et du Tchad (RECOSOC) appui 4 groupements dans la sous préfecture de Kékédina à travers l’association d’action pour la recherche et le développement du Kanem. Cette activité touche 120 personnes dans les villages de : Kadarfou, Lougoum, Kerfi et Guiguili tous dans la sous préfecture de Kékédina dans le département du Kanem , province du Kanem.
Le RECOSOC piloté par Oxfam et Care International. L’association d’action pour la recherche et le développement du Kanem (Ardek) a donné des outils aratoires ( peles, brouettes, râteaux, arrosoirs, pulvérisateurs…) et les semences (oignons,beteraves, carottes,laitus, poivrons…). Ces activités sont menées dans les ouadis.
L’ARDEK appui les 4 Villages avec des pépinières pour permettre aux groupements de clôturer les ouadis. Pour les 4 sites il ya déjà 16.000 pépinières qui constituera dans le futur une forêt. Cela empêchera la divagations des animaux.
Les activités menées dans le projet RECOSOC a permis aux groupements des 4 villages autour de Kékédina de se prendre en charge. Les bénéficiaires s’en félicitent.
« Nous sommes contents de l’appui de Ardek, nous avons pu vendre des oignons à temps et garder un peu pour attendre le moment opportun pour amener au marché. Grâce à ce projet nous avons aussi amélioré notre de manière de cultiver. Nous avons par exemple les pépinières c’est quelle que chose que on ne pas. On est très content » dit Moustapha Abakar , président du groupement Matafiou du village Kadarfou dans la sous préfecture de Kékédina.
Dans le village Logoum les mêmes activités sont menées. Un grand champs de maïs est visible dans le ouadis. Une grande partie est déjà prêt à la consommation grâce à l’appui de L’ARDEK qui met en œuvre le projet RECOSOC.
La présidente du groupement Nadja du village Lougoum Fatimé Senoussi se dit contente de l’appui mais demande que le RECOSOC appui son groupement en énergie solaire pour faire l’irrigation.
A Kerfi les activités sont menées de la même manière.
Les activités maraîchères menées par l’association d’action pour la recherche et le développement du Kanem (ARDEK) a apporté un grand changement dans la vie de ces communautés critèes haut. L’ARDEK a pu mêlé les femmes dans les activités de culture. Auparavant se sont uniquement des hommes qui vont dans les ouadis pour cultiver l’oignon. L’ARDEK a pu permettre de les réorganiser en groupements mais les donnés les actus pour cultiver plusieurs fois dans l’année.